En feuilletant un vieux Casus Belli (le numéro 84 paru en décembre 1994), j'ai retrouvé cette critique de Tristan Lhomme. C'est en grande partie de sa faute si, à l'époque, je m'étais procuré le jeu (et si j'ai œuvré à son retour). Je dois avouer qu'après l'avoir relue, j'adhère toujours à 100% à chaque mot employé.
Avec l'aimable autorisation de l'auteur, je la publie sur le blog pour donner aux lecteurs les plus récents ou les plus pressés une idée de ce que faisait (et fait toujours !) la force et l'originalité d'Écryme. Le texte formulait quelques réserves sur des points figurant parmi ceux que nous avons retravaillés lors du développement de cette seconde mouture. Ces points ont été abondamment détaillés dans les premiers articles que nous avons écrits l'année dernière. Si vous désirez les lire, n'ayez pas peur de faire de la spéléologie ici, là, voire même là ou encore là.
Bonne lecture !
Avec l'aimable autorisation de l'auteur, je la publie sur le blog pour donner aux lecteurs les plus récents ou les plus pressés une idée de ce que faisait (et fait toujours !) la force et l'originalité d'Écryme. Le texte formulait quelques réserves sur des points figurant parmi ceux que nous avons retravaillés lors du développement de cette seconde mouture. Ces points ont été abondamment détaillés dans les premiers articles que nous avons écrits l'année dernière. Si vous désirez les lire, n'ayez pas peur de faire de la spéléologie ici, là, voire même là ou encore là.
Bonne lecture !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire